Eye Of the Tiger [Pv : Kyô + Aki]

Vingt heures passées. Le meeting s'était plutôt bien terminé. Avec quelques contusions, certes. Trouver un terrain d'entente avec les yakuzas, ce n'est pas la tâche la plus aisée qui soit, mais généralement ils sont plutôt intéressés lorsqu'il s'agit de business. Au final, les deux hunters avaient mis fin aux échanges avec succès. Les deux malettes reposaient sur un vieil étau. Die s'alluma une clope, fier, et alla s'asseoir sur un tas de barres en fer.

- Yosh! T'y es pas allé de main morte, Kyô! J'ai cru que sa mâchoire allait lui sortir de la gueule, précisa le roux à l'adresse de son chef.

Ce dernier avait eu l'occasion de faire taire un homme de main qui avait... peu discrètement -en tout cas pas assez pour garder ses dents- exprimé son point de vue quant à la taille du chef des hunters. Mauvaise idée. Terrain glissant.
Le roux tira sur sa Seven Star, regarda la fumée onduler sous ses yeux. Repensa à la dernière nuit qu'il avait passée avec Sakito... du feu de Dieu, comme d'habitude. Jamais le maréchal n'avait rencontré un mec aussi attirant. Aussi drôle, aussi attendrissant, aussi vivant, aussi enthousiaste... Bref, il avait de l'or entre les mains. Et il comptait bien garder son trésor éternellement. Jusqu'à ce que la mort les sépare. Ou que leur amour s'estompe, ce qui pouvait arriver, mais qu'il n'attendait pas avec impatience.

Finalement le mégot fut écrasé par le talon d'une des Santiag noires que portait le jeune maréchal.

- Bon! J'vais re compter quand même. On sait jamais avec les yakuzas. Y a des p'tits malins.

Il s'approcha de l'étau, ouvrit la malette. Commença à compter soigneusement les billets. A priori aucune entourloupe. Avec ça ils auraient de quoi faire le plein d'armes. Il pourrait peut être même s'offrir un nouveau nunchaku, qui sait. Et ils pourraient enfin songer à remplir un peu leur rayon pharmaceutique, parce que pour un hunter, rester au pieu toute la journée à cause d'un mal de crâne parce que la boite de paracétamol est vide depuis des lustres, ça le faisait moyen...

La main sur la crosse de son desert eagle, Shootant nerveusement dans un caillou de taille moyenne une cigarette calée entre ses lèvres, Le petit blond qui s’avérer être le chef des Hunters ruminait. Il venait de se taper environ trois heures et demi de négociation en compagnie de son second Maréchal face à un tribut de Yakuzas, et des Yakuza con en plus.

« - Yosh. T’y es pas allé de main morte, Kyô! J’ai cru que sa mâchoire allait lui sortir de la gueule » Le gratifiât Die, Marmonnant un « bande de connard » a peine audible traduisant sa morosité il tira une latte sur a cigarette et cendra
Tête qu’ils ont ses rats galeux de Yakouzes, ils savent vraiment pas à qui ils parlent. L’un des sujets les plus sensibles à ne jamais évoquer avec Kyô était sa taille, Malheureusement, certains crétins se croient encore assez fin pour balancer une vanne des plus pourries. Tsss, maintenant île débile en question se retrouve obliger de bouffer a la paille jusqu’à la fin de ses jours, bien fait pour sa gueule pensât Le blond teigneux qui aurait bien déboîter les deux épaules de la personne en question, m’enfin, levant les yeux vers son second Maréchal il voyais que celui-ci rêvasser avant de se reprendre

« - Bon ! J’vais re compter quand même. On sait jamais avec les yakuzas. Y a des p’tits malins. »

Acquiescant d’un signe de tête, Kyô regardât les alentours, dénuer de toutes présence a part la leurs, ont aurait dit qu’aucun chat n’avait oser sortir cette nuits, même les Yakuzas était rester dans leurs QG, mais il y avait quelque chose d’anormal, d’étrangement pas naturel, L’instinct du blond s’éveiller peut a peut, un coup monter ? Non …Les gangsters ne s’y risqueraient pas. Un vampire, sa, il y avait plus de chance . Tirant une dernière latte sur sa clope , il la laissât rejoindre les gravier et l’écrasa avec ses creepers avant de dire d’un ton calme et placide , toujours aux aguets , la main se resserrant sur la crosse de son bébé

« Die … Tu vas me faire le plaisir de bouger tes fesses de refermer cette mallette , y a un truc de pas net , ont se casse. »

Passant sa langue sur ses lèvres machinalement , le petit blond regardât tour a tour chacune des ruelles attendant que le Rouquin close sa mallette.